Catalogue des IFSI - IFAS de Saint-Chamond et de Montbrison (Loire - 42)
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[article]
Titre : |
L’antibiogramme : objectifs, méthodes et interprétation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Winoc Decousser, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
pp. 253-258 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
ANTIBIOTIQUE ; Bactérie ; Infection ; Microbiologie ; Objectif santé ; Pharmacorésistance
|
Résumé : |
Dans ce cinquième volet, nous abordons la question de la place et des limites de l’antibiogramme. Nous discuterons dans une prochaine rubrique les avancées technologiques de l’antibiogramme (antibiogrammes dits « rapides »), ainsi que les tests complémentaires utilisés au laboratoire de bactériologie pour anticiper ou confirmer la présence de résistances acquises aux antibiotiques. L’hygiéniste est confronté dans sa pratique quotidienne au « jargon » des bactériologistes et des infectiologues : il est important qu’il en connaisse et en comprenne les principaux termes afin de mieux en appréhender les apports dans les décisions et recommandations qu’il aura à prendre et à appliquer. |
Localisation OPAC : |
Montbrison |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Hygiènes > 31 (3) (juin 2023) . - pp. 253-258
[article] L’antibiogramme : objectifs, méthodes et interprétation [texte imprimé] / Jean-Winoc Decousser, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; Bruno Pozzetto, Auteur . - 2023 . - pp. 253-258. Langues : Français ( fre) in Hygiènes > 31 (3) (juin 2023) . - pp. 253-258
Catégories : |
ANTIBIOTIQUE ; Bactérie ; Infection ; Microbiologie ; Objectif santé ; Pharmacorésistance
|
Résumé : |
Dans ce cinquième volet, nous abordons la question de la place et des limites de l’antibiogramme. Nous discuterons dans une prochaine rubrique les avancées technologiques de l’antibiogramme (antibiogrammes dits « rapides »), ainsi que les tests complémentaires utilisés au laboratoire de bactériologie pour anticiper ou confirmer la présence de résistances acquises aux antibiotiques. L’hygiéniste est confronté dans sa pratique quotidienne au « jargon » des bactériologistes et des infectiologues : il est important qu’il en connaisse et en comprenne les principaux termes afin de mieux en appréhender les apports dans les décisions et recommandations qu’il aura à prendre et à appliquer. |
Localisation OPAC : |
Montbrison |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
|  |
Exemplaires(1)



[article]
Titre : |
La comparaison et le typage microbien en 2022 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Winoc Decousser, Auteur |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
pp. 376-381 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Bactérie ; Contagion ; Epidémiologie ; Exposition ; Hygiène hospitalière ; MALADIE VIRALE ; Microbiologie ; Microorganisme ; Technique mesure ; Valeur référence
|
Résumé : |
Pour ce second volet, nous allons aborder les techniques de typage et de comparaison de souches microbiennes disponibles et utilisées en 2022. Historiquement, la comparaison des souches ou isolats a concerné très majoritairement les bactéries : les techniques, nombreuses quoique le plus souvent artisanales (dites « maison »), étaient relativement faciles d’accès. Leur interprétation était néanmoins difficile et leurs résultats variables selon les laboratoires. Certaines approches étaient pourtant standardisées, certains fabricants de réactifs de laboratoire commercialisant des trousses prêtes à l’emploi voire des solutions complètement intégrées. Concernant les virus, la comparaison des isolats viraux a très longtemps été réservée aux centres de référence qui utilisaient la technique de séquençage d’un gène ou d’une partie précise du génome viral. La pandémie de SARS–CoV-21 a démocratisé le séquençage donc le typage des isolats et les comparaisons inter-échantillons des séquences d’intérêt. Pour les champignons et les parasites, les difficultés de réalisation et d’interprétation ont conduit à réserver cette activité aux centres hyperspécialisés et notamment aux centres nationaux de référence. Ce domaine de la microbiologie a connu sa révolution au début des années 2000 avec l’apparition, le développement puis la diffusion des techniques de séquençage de nouvelle génération (Next generation sequencing [NGS]) [1]. Ces techniques permettent de séquencer en même temps une grande quantité de matériel génétique pour ensuite reconstruire tout ou partie du génome des micro-organismes. La « déferlante » du NGS a tout emporté sur son passage et, au moins pour les bactéries, a remplacé la quasi-totalité des autres méthodes de comparaison des souches. Nous aurons l’occasion dans un prochain article de revenir sur la révolution technique apportée par le NGS. |
Localisation OPAC : |
Montbrison |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Hygiènes > 30 (6) (décembre 2022) . - pp. 376-381
[article] La comparaison et le typage microbien en 2022 [texte imprimé] / Jean-Winoc Decousser, Auteur . - 2022 . - pp. 376-381. Langues : Français ( fre) in Hygiènes > 30 (6) (décembre 2022) . - pp. 376-381
Catégories : |
Bactérie ; Contagion ; Epidémiologie ; Exposition ; Hygiène hospitalière ; MALADIE VIRALE ; Microbiologie ; Microorganisme ; Technique mesure ; Valeur référence
|
Résumé : |
Pour ce second volet, nous allons aborder les techniques de typage et de comparaison de souches microbiennes disponibles et utilisées en 2022. Historiquement, la comparaison des souches ou isolats a concerné très majoritairement les bactéries : les techniques, nombreuses quoique le plus souvent artisanales (dites « maison »), étaient relativement faciles d’accès. Leur interprétation était néanmoins difficile et leurs résultats variables selon les laboratoires. Certaines approches étaient pourtant standardisées, certains fabricants de réactifs de laboratoire commercialisant des trousses prêtes à l’emploi voire des solutions complètement intégrées. Concernant les virus, la comparaison des isolats viraux a très longtemps été réservée aux centres de référence qui utilisaient la technique de séquençage d’un gène ou d’une partie précise du génome viral. La pandémie de SARS–CoV-21 a démocratisé le séquençage donc le typage des isolats et les comparaisons inter-échantillons des séquences d’intérêt. Pour les champignons et les parasites, les difficultés de réalisation et d’interprétation ont conduit à réserver cette activité aux centres hyperspécialisés et notamment aux centres nationaux de référence. Ce domaine de la microbiologie a connu sa révolution au début des années 2000 avec l’apparition, le développement puis la diffusion des techniques de séquençage de nouvelle génération (Next generation sequencing [NGS]) [1]. Ces techniques permettent de séquencer en même temps une grande quantité de matériel génétique pour ensuite reconstruire tout ou partie du génome des micro-organismes. La « déferlante » du NGS a tout emporté sur son passage et, au moins pour les bactéries, a remplacé la quasi-totalité des autres méthodes de comparaison des souches. Nous aurons l’occasion dans un prochain article de revenir sur la révolution technique apportée par le NGS. |
Localisation OPAC : |
Montbrison |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
|  |
Exemplaires(1)

[article]
Titre : |
Désinfection des surfaces par exposition aux ultraviolets C : Validation des performances d’un appareil à LED au centre hospitalier de Haguenau |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Olivier Meunier, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Tania FERSING, Auteur ; et al. |
Année de publication : |
2021 |
Article en page(s) : |
pp. 301-305 |
Catégories : |
Désinfection ; Efficacité ; Environnement ; Expérimentation ; Hygiène hospitalière ; Innovation technologique ; Microbiologie ; Microorganisme ; Propreté ; Qualité ; Ultraviolet
|
Résumé : |
Les surfaces utiles constituent des réservoirs pour certaines espèces microbiennes et pourraient constituer le point de départ de la contamination des personnes. Pour de multiples petites surfaces très manipulées, nous cherchons des méthodes de désinfection efficaces et simples. Nous montrons à l’aide d’un modèle expérimental que les ultraviolets (UV) C seuls permettent une réduction significative de 95% de la charge bactérienne d’une surface lisse contaminée par manipulation. Lorsque les UV-C sont couplés à une étape préalable de nettoyage par essuyage à sec avec un textile en microfibre, la réduction de la charge bactérienne est de 2 log (99% de réduction). Dans les conditions expérimentales que nous proposons, avec le dispositif que nous avons essayé, nous notons une efficacité désinfectante des UV-C. La désinfection des surfaces par exposition de quelques secondes aux UV-C est une technique simple d’utilisation et prometteuse. Elle pourrait apporter une aide significative dans certaines indications de désinfection, en période épidémique par exemple, ou plus généralement pour certaines surfaces hospitalières ou en relation avec les soins. |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
in Hygiènes > 29 (4) [02/09/2021] . - pp. 301-305
[article] Désinfection des surfaces par exposition aux ultraviolets C : Validation des performances d’un appareil à LED au centre hospitalier de Haguenau [texte imprimé] / Olivier Meunier, Auteur ; Sandrine Burger, Auteur ; Tania FERSING, Auteur ; et al. . - 2021 . - pp. 301-305. in Hygiènes > 29 (4) [02/09/2021] . - pp. 301-305
Catégories : |
Désinfection ; Efficacité ; Environnement ; Expérimentation ; Hygiène hospitalière ; Innovation technologique ; Microbiologie ; Microorganisme ; Propreté ; Qualité ; Ultraviolet
|
Résumé : |
Les surfaces utiles constituent des réservoirs pour certaines espèces microbiennes et pourraient constituer le point de départ de la contamination des personnes. Pour de multiples petites surfaces très manipulées, nous cherchons des méthodes de désinfection efficaces et simples. Nous montrons à l’aide d’un modèle expérimental que les ultraviolets (UV) C seuls permettent une réduction significative de 95% de la charge bactérienne d’une surface lisse contaminée par manipulation. Lorsque les UV-C sont couplés à une étape préalable de nettoyage par essuyage à sec avec un textile en microfibre, la réduction de la charge bactérienne est de 2 log (99% de réduction). Dans les conditions expérimentales que nous proposons, avec le dispositif que nous avons essayé, nous notons une efficacité désinfectante des UV-C. La désinfection des surfaces par exposition de quelques secondes aux UV-C est une technique simple d’utilisation et prometteuse. Elle pourrait apporter une aide significative dans certaines indications de désinfection, en période épidémique par exemple, ou plus généralement pour certaines surfaces hospitalières ou en relation avec les soins. |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
|  |
Exemplaires(1)

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