Catalogue des IFSI - IFAS de Saint-Chamond et de Montbrison (Loire - 42)
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Activités physiques et psychiatrie
Mention de date : novembre 2021
Paru le : 01/11/2021
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Dépouillements
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[article]
| Titre : |
« L’activité physique en psy est peu valorisée ! » |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Lucie BAILLEUL, Auteur ; Pierre-Marie DEBACQ, Auteur |
| Année de publication : |
2021 |
| Article en page(s) : |
pp. 74-79 |
| Catégories : |
Activité physique ; Adaptation ; Bien être ; Enquête qualitative ; Formation ; Méthode quantitative ; Pédopsychiatrie ; Prescription ; Profession santé ; Projet service ; Psychiatre ; Psychopathologie ; Recommandation ; Représentation ; SIIPS ; Sociabilité ; Sport ; Thérapeutique ; Travail équipe ; Travail pluridisciplinaire
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| Résumé : |
Si globalement, les psychiatres et les pédopsychiatres s’accordent sur les bienfaits de l’activité physique en psychiatrie, dans les faits, ils sont loin de la préconiser systématiquement. Réalisées dans les Hauts-de-France, deux études, l’une qualitative, l’autre quantitative, objectivent la réalité de leurs préconisations aux usagers. Les résultats pointent de nombreux freins: formation, manque de personnels dédiés, difficultés d’organisation et/ou institutionnelles... |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 74-79
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Exemplaires(2)
[article]
| Titre : |
Activité physique : pratiquer d’abord ! |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Pierre Dupuis, Auteur |
| Année de publication : |
2021 |
| Article en page(s) : |
pp. 64-65 |
| Catégories : |
Accompagnement malade ; Acteur ; Activité physique ; Adaptation ; Addiction ; Alliance thérapeutique ; Autonomie ; Canada ; Comportement santé ; Entraînement sportif ; Equipement sportif ; Hygiène alimentaire ; Innovation ; Lieu de vie ; Lutte antidrogue ; Motivation ; Profession santé ; Psychopathologie ; SIIPS ; Travail pluridisciplinaire ; Trouble anxieux
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| Résumé : |
Même si chacun connaît aujourd’hui les bienfaits de l’activité physique (AP) sur la santé, il est souvent difficile de passer de la théorie à la pratique, notamment pour les patients suivis en psychiatrie. Instauré par une équipe communautaire de traitement intensif (Assertive Community Treatment,ACT) affilié à l’Hôpital Montfort d’Ottawa (Ontario, Canada), ce modèle innovant d’accompagnement à l’activité physique (1) va au-devant des personnes, dans leur lieu de vie habituel et s’adapte à leur problématique. Par activité physique (AP), nous entendons ici le fait de bouger, de pratiquer des exercices réguliers pour se maintenir en forme, s’entraîner... D’abord destiné aux personnes souffrant d’un trouble psychique sévère, cette méthode a été adaptée pour faire partie des activités du Centre de rétablissement inter-section de Gatineau (Québec, Canada), association de soins extra-hospitaliers axé sur la réadaptation et la réinsertion sociale de personnes aux prises avec un problème de santé mentale. Trois grands principes guident cet accompagnement.[...] |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 64-65
[article] Activité physique : pratiquer d’abord ! [texte imprimé] / Jean-Pierre Dupuis, Auteur . - 2021 . - pp. 64-65. in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 64-65
| Catégories : |
Accompagnement malade ; Acteur ; Activité physique ; Adaptation ; Addiction ; Alliance thérapeutique ; Autonomie ; Canada ; Comportement santé ; Entraînement sportif ; Equipement sportif ; Hygiène alimentaire ; Innovation ; Lieu de vie ; Lutte antidrogue ; Motivation ; Profession santé ; Psychopathologie ; SIIPS ; Travail pluridisciplinaire ; Trouble anxieux
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| Résumé : |
Même si chacun connaît aujourd’hui les bienfaits de l’activité physique (AP) sur la santé, il est souvent difficile de passer de la théorie à la pratique, notamment pour les patients suivis en psychiatrie. Instauré par une équipe communautaire de traitement intensif (Assertive Community Treatment,ACT) affilié à l’Hôpital Montfort d’Ottawa (Ontario, Canada), ce modèle innovant d’accompagnement à l’activité physique (1) va au-devant des personnes, dans leur lieu de vie habituel et s’adapte à leur problématique. Par activité physique (AP), nous entendons ici le fait de bouger, de pratiquer des exercices réguliers pour se maintenir en forme, s’entraîner... D’abord destiné aux personnes souffrant d’un trouble psychique sévère, cette méthode a été adaptée pour faire partie des activités du Centre de rétablissement inter-section de Gatineau (Québec, Canada), association de soins extra-hospitaliers axé sur la réadaptation et la réinsertion sociale de personnes aux prises avec un problème de santé mentale. Trois grands principes guident cet accompagnement.[...] |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)
[article]
| Titre : |
L’activité physique collective, vecteur d’altérité |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Michel Bourelle, Auteur |
| Année de publication : |
2021 |
| Article en page(s) : |
pp. 37-41 |
| Catégories : |
Activité physique ; Altérité ; Comportement social ; Emotion ; Evolution ; Jeu ; Relation sociale ; Relation soignant soigné ; Sport collectif ; Thérapeutique ; Travail groupe
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| Résumé : |
Dans les activités physiques qui peuvent être proposées en psychiatrie, celles intégrant une dimension collective sont particulièrement intéressantes pour travailler le processus de l’altérité, souvent altéré dans la maladie psychique. Cela peut être des jeux «traditionnels » (type ballon-prison-nier) ou des sports collectifs (type football ou basket). L’auteur explore les spécificités de ces activités et leurs répercussions positives sur la vie de la personne présentant de troubles psychiques, notamment à travers l’histoire clinique d’un jeune homme souffrant de schizophrénie. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 37-41
[article] L’activité physique collective, vecteur d’altérité [texte imprimé] / Jean-Michel Bourelle, Auteur . - 2021 . - pp. 37-41. in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 37-41
| Catégories : |
Activité physique ; Altérité ; Comportement social ; Emotion ; Evolution ; Jeu ; Relation sociale ; Relation soignant soigné ; Sport collectif ; Thérapeutique ; Travail groupe
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| Résumé : |
Dans les activités physiques qui peuvent être proposées en psychiatrie, celles intégrant une dimension collective sont particulièrement intéressantes pour travailler le processus de l’altérité, souvent altéré dans la maladie psychique. Cela peut être des jeux «traditionnels » (type ballon-prison-nier) ou des sports collectifs (type football ou basket). L’auteur explore les spécificités de ces activités et leurs répercussions positives sur la vie de la personne présentant de troubles psychiques, notamment à travers l’histoire clinique d’un jeune homme souffrant de schizophrénie. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)
[article]
| Titre : |
Mêler activité physique adaptée et remédiation cognitive |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Isabelle Amado, Auteur ; Laurence KERN, Auteur |
| Année de publication : |
2021 |
| Catégories : |
Activité physique ; Amélioration ; Comportement santé ; Créativité ; Fonction cognitive ; Innovation ; Pratique professionnelle ; Prévention santé ; Profession santé ; Projet de vie ; Réhabilitation ; Relation sociale ; Santé mentale ; Sport ; Symptôme psychique ; Synergie ; Thérapeutique
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| Résumé : |
L’activité physique est une des approches psychosociales incluses dans les thérapies orientées rétablissement en santé mentale. Les pathologies qui occasionnent un handicap psychique entrainent toutes des altérations cognitives. Or l’activité physique améliore les fonctions cognitives. Aussi, la remédiation cognitive est une thérapie psychosociale qui entraine une réduction des altérations cognitives engendrées par la maladie et un bénéfice pour l’autonomie, l’insertion sociale et la qualité de vie. Activité physique et remédiation peuvent se trouver intriquées, comme dans certaines méthodes de remédiation cognitive «incarnée» autour du rugby, de programmes de jeux aquatiques pour les troubles de l’attention chez l’enfant, ou d’exercices cognitifs inspirées de la méthode CRT (cognitive remediation therapy), en forme ludomotrice. Ces exercices sous forme d’un programme appelé PAPAPAS (Kern et al. 2013), sont destinés aux personnes souffrant de schizophrénie, ou d’autisme. On peut aussi combiner des exercices cognitifs et des séances d’activité physique adaptée ou non. L’activité physique doit être prônée comme élément clé d’un nouveau style de vie dans la prévention des troubles psychiques. Elle doit être prescrite par les praticiens et proposée dans les unités de soins en santé mentale pour offrir une clé de plus vers le rétablissement. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Santé mentale > 262 (novembre 2021)
[article] Mêler activité physique adaptée et remédiation cognitive [texte imprimé] / Isabelle Amado, Auteur ; Laurence KERN, Auteur . - 2021. in Santé mentale > 262 (novembre 2021)
| Catégories : |
Activité physique ; Amélioration ; Comportement santé ; Créativité ; Fonction cognitive ; Innovation ; Pratique professionnelle ; Prévention santé ; Profession santé ; Projet de vie ; Réhabilitation ; Relation sociale ; Santé mentale ; Sport ; Symptôme psychique ; Synergie ; Thérapeutique
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| Résumé : |
L’activité physique est une des approches psychosociales incluses dans les thérapies orientées rétablissement en santé mentale. Les pathologies qui occasionnent un handicap psychique entrainent toutes des altérations cognitives. Or l’activité physique améliore les fonctions cognitives. Aussi, la remédiation cognitive est une thérapie psychosociale qui entraine une réduction des altérations cognitives engendrées par la maladie et un bénéfice pour l’autonomie, l’insertion sociale et la qualité de vie. Activité physique et remédiation peuvent se trouver intriquées, comme dans certaines méthodes de remédiation cognitive «incarnée» autour du rugby, de programmes de jeux aquatiques pour les troubles de l’attention chez l’enfant, ou d’exercices cognitifs inspirées de la méthode CRT (cognitive remediation therapy), en forme ludomotrice. Ces exercices sous forme d’un programme appelé PAPAPAS (Kern et al. 2013), sont destinés aux personnes souffrant de schizophrénie, ou d’autisme. On peut aussi combiner des exercices cognitifs et des séances d’activité physique adaptée ou non. L’activité physique doit être prônée comme élément clé d’un nouveau style de vie dans la prévention des troubles psychiques. Elle doit être prescrite par les praticiens et proposée dans les unités de soins en santé mentale pour offrir une clé de plus vers le rétablissement. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)
[article]
| Titre : |
Pourquoi des activités physiques en psychiatrie ? : dossier |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Catherine FAYOLLET, |
| Année de publication : |
2021 |
| Article en page(s) : |
pp. 22-74 |
| Catégories : |
Activité physique ; Affirmation soi ; Amélioration ; Bien être ; Contre indication ; Evaluation ; Inactivité physique ; Maladie associée ; OMS ; Prescription ; Psychiatrie ; Recommandation ; Santé mentale ; Thérapeutique
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| Résumé : |
La pratique régulière d’activités physiques est désormais inscrite dans les recommandations en santé mentale comme facteur favorisant du rétablissement. Si l’OMS a défini des normes vers lesquelles chacun devrait tendre en prévention primaire ou secondaire, le recul de la sédentarité par une activité physique au quotidien (sans forcément être une activité sportive) est accessible à tous, de façon raisonnable et adaptée à chacun. La diversité des pathologies et de leur impact sur le fonctionnement de la personne font qu’au-delà de l’activité physique dans les gestes de la vie quotidienne, des indications ciblées d’Activités physiques adaptées s’avèrent constituer un traitement adjuvant dans la majorité des pathologies psychiatriques. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 22-74
[article] Pourquoi des activités physiques en psychiatrie ? : dossier [texte imprimé] / Catherine FAYOLLET, . - 2021 . - pp. 22-74. in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 22-74
| Catégories : |
Activité physique ; Affirmation soi ; Amélioration ; Bien être ; Contre indication ; Evaluation ; Inactivité physique ; Maladie associée ; OMS ; Prescription ; Psychiatrie ; Recommandation ; Santé mentale ; Thérapeutique
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| Résumé : |
La pratique régulière d’activités physiques est désormais inscrite dans les recommandations en santé mentale comme facteur favorisant du rétablissement. Si l’OMS a défini des normes vers lesquelles chacun devrait tendre en prévention primaire ou secondaire, le recul de la sédentarité par une activité physique au quotidien (sans forcément être une activité sportive) est accessible à tous, de façon raisonnable et adaptée à chacun. La diversité des pathologies et de leur impact sur le fonctionnement de la personne font qu’au-delà de l’activité physique dans les gestes de la vie quotidienne, des indications ciblées d’Activités physiques adaptées s’avèrent constituer un traitement adjuvant dans la majorité des pathologies psychiatriques. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)
[article]
| Titre : |
S’adresser au corps… |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jérôme BOUTINAUD, Auteur |
| Année de publication : |
2021 |
| Article en page(s) : |
pp. 32-34 |
| Catégories : |
Corps ; Estime soi ; Posture ; Pratique professionnelle ; Psychiatrie ; Psychopathologie ; Relation soignant soigné ; Représentation corps ; Représentation sociale ; Schéma corporel ; Sport ; Thérapeutique
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| Résumé : |
Les pathologies psychiatriques s’expriment massivement par le corps. Dès lors, dans la démarche thérapeutique, comment composer avec cette place prédominante du corps? Si les approches à médiations corporelles sont pertinentes, elles nécessitent toutefois de s’appuyer sur des références théoriques solides. L’auteur sensibilise le lecteur à trois points fondamentaux: la façon dont les concepts théoriques du schéma corporel et de l’image du corps permettent de mieux cerner l’objet «corps»; la manière dont ces troubles corporels s’incarnent notamment dans la schizophrénie et les troubles borderline; les rôles et la place du corps du soignant dans la dynamique de soin. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 32-34
[article] S’adresser au corps… [texte imprimé] / Jérôme BOUTINAUD, Auteur . - 2021 . - pp. 32-34. in Santé mentale > 262 (novembre 2021) . - pp. 32-34
| Catégories : |
Corps ; Estime soi ; Posture ; Pratique professionnelle ; Psychiatrie ; Psychopathologie ; Relation soignant soigné ; Représentation corps ; Représentation sociale ; Schéma corporel ; Sport ; Thérapeutique
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| Résumé : |
Les pathologies psychiatriques s’expriment massivement par le corps. Dès lors, dans la démarche thérapeutique, comment composer avec cette place prédominante du corps? Si les approches à médiations corporelles sont pertinentes, elles nécessitent toutefois de s’appuyer sur des références théoriques solides. L’auteur sensibilise le lecteur à trois points fondamentaux: la façon dont les concepts théoriques du schéma corporel et de l’image du corps permettent de mieux cerner l’objet «corps»; la manière dont ces troubles corporels s’incarnent notamment dans la schizophrénie et les troubles borderline; les rôles et la place du corps du soignant dans la dynamique de soin. |
| Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
| Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)
