[article]
Titre : |
Du don à la greffe de cellules souches hématopoïétiques [Dossier] |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Daniel Maroudy, Auteur |
Année de publication : |
2021 |
Article en page(s) : |
pp. 25-61 |
Catégories : |
Anatomie:Système immunitaire:Moelle osseuse Droit:Texte officiel Ethique Ethique:Déontologie:Bioéthique Ethique:Droits personne:Droit catégoriel:Droits malade:Consentement Information & communication [NI]:Information Mots outils [NI]:Recherche Mots outils [NI]:Sciences humaines Pathologie:Hémopathie Pathologie:Infection Pratique médicale:Consultation Pratique médicale:Examen complémentaire:Exploration instrumentale:Prélèvement Pratique médicale:Relation soignant soigné:Accompagnement malade Pratique santé [NI]:Comportement santé:Don organe Profession sanitaire & sociale:Profession santé:Profession paramédicale:Auxiliaire médical:Infirmier:Infirmière coordinatrice Psychologie Psychologie:Théorie psychanalytique:Appareil psychique Santé mentale:Psychopathologie:Trouble développement:Autisme Soins:Soins infirmiers Spécialité [NI]:Spécialité médicale:Biologie:Hématologie Spécialité [NI]:Spécialité médicale:Cancérologie Thérapeutique:Immunothérapie Thérapeutique:Thérapeutique chirurgicale:Intervention chirurgicale:Transplantation organe:Greffe
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Résumé : |
La greffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH) a sa place dans les grandes épopées médicales. Certaines maladies hémato-1 logiques ont pour ultime recours la greffe de CSH. Une thérapeutique récente, complexe, d’efficacité en progrès constant, mais toujours affectée de complications redoutées et d’incertitudes lancinantes. Les pathologies en cause, malignes ou non, n’ont pas de frontières d’âge, de genre, etc., même si certaines recèlent des particularités, familiales ou géographiques par exemple. L’atteinte d’un enfant est spécialement éprouvante, comme c’est souvent le cas, mais ici sa famille doit également affronter les vicissitudes du don au sein de la fratrie. L’un des premiers écueils pour une allogreffe est de trouver un donneur de greffon compatible. Une fois sur quatre, il est dans la famille. Si ce n’est pas le cas, on estime à une chance sur un million d’en trouver un1 parmi les 36 millions de donneurs inscrits sur les 73 registres de donneurs dans le monde (en 2018). En France, on comptait 318 590 candidats au don de moelle osseuse fin 2019 (question auteur). Au cours de cette année, près de 2 000 allogreffes ont pu être réalisées2, avec une croissance des allogreffes apparentées haplo-identiques (compatibles à 50 %). Un long parcours, ponctué d’épreuves, attend le malade dès le début du projet de greffe. La préparation et le conditionnement avant l’administration des CSH sont contraignants. Ils peuvent déjà affecter le corps et le mental par leur agressivité et leur toxicité. Si l’acte et le moment de la greffe marquent la mémoire émotionnelle, la période postgreffe reste le plus douloureux du vécu comme dans le souvenir.
De nombreux facteurs conditionnent le taux de réussite. Il évolue de 50 à 75 % à cinq ans selon s’il s’agit de donneur géno-identique ou non. |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
En ligne : |
https://www.em-premium.com/revue/soin/66/854 |
in Soins > 854 (avril 2021) . - pp. 25-61
[article] Du don à la greffe de cellules souches hématopoïétiques [Dossier] [texte imprimé] / Daniel Maroudy, Auteur . - 2021 . - pp. 25-61. in Soins > 854 (avril 2021) . - pp. 25-61
Catégories : |
Anatomie:Système immunitaire:Moelle osseuse Droit:Texte officiel Ethique Ethique:Déontologie:Bioéthique Ethique:Droits personne:Droit catégoriel:Droits malade:Consentement Information & communication [NI]:Information Mots outils [NI]:Recherche Mots outils [NI]:Sciences humaines Pathologie:Hémopathie Pathologie:Infection Pratique médicale:Consultation Pratique médicale:Examen complémentaire:Exploration instrumentale:Prélèvement Pratique médicale:Relation soignant soigné:Accompagnement malade Pratique santé [NI]:Comportement santé:Don organe Profession sanitaire & sociale:Profession santé:Profession paramédicale:Auxiliaire médical:Infirmier:Infirmière coordinatrice Psychologie Psychologie:Théorie psychanalytique:Appareil psychique Santé mentale:Psychopathologie:Trouble développement:Autisme Soins:Soins infirmiers Spécialité [NI]:Spécialité médicale:Biologie:Hématologie Spécialité [NI]:Spécialité médicale:Cancérologie Thérapeutique:Immunothérapie Thérapeutique:Thérapeutique chirurgicale:Intervention chirurgicale:Transplantation organe:Greffe
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Résumé : |
La greffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH) a sa place dans les grandes épopées médicales. Certaines maladies hémato-1 logiques ont pour ultime recours la greffe de CSH. Une thérapeutique récente, complexe, d’efficacité en progrès constant, mais toujours affectée de complications redoutées et d’incertitudes lancinantes. Les pathologies en cause, malignes ou non, n’ont pas de frontières d’âge, de genre, etc., même si certaines recèlent des particularités, familiales ou géographiques par exemple. L’atteinte d’un enfant est spécialement éprouvante, comme c’est souvent le cas, mais ici sa famille doit également affronter les vicissitudes du don au sein de la fratrie. L’un des premiers écueils pour une allogreffe est de trouver un donneur de greffon compatible. Une fois sur quatre, il est dans la famille. Si ce n’est pas le cas, on estime à une chance sur un million d’en trouver un1 parmi les 36 millions de donneurs inscrits sur les 73 registres de donneurs dans le monde (en 2018). En France, on comptait 318 590 candidats au don de moelle osseuse fin 2019 (question auteur). Au cours de cette année, près de 2 000 allogreffes ont pu être réalisées2, avec une croissance des allogreffes apparentées haplo-identiques (compatibles à 50 %). Un long parcours, ponctué d’épreuves, attend le malade dès le début du projet de greffe. La préparation et le conditionnement avant l’administration des CSH sont contraignants. Ils peuvent déjà affecter le corps et le mental par leur agressivité et leur toxicité. Si l’acte et le moment de la greffe marquent la mémoire émotionnelle, la période postgreffe reste le plus douloureux du vécu comme dans le souvenir.
De nombreux facteurs conditionnent le taux de réussite. Il évolue de 50 à 75 % à cinq ans selon s’il s’agit de donneur géno-identique ou non. |
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https://www.em-premium.com/revue/soin/66/854 |
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