Catalogue des IFSI - IFAS de Saint-Chamond et de Montbrison (Loire - 42)
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[article]
Titre : |
Naissance d’un enfant en état de mort apparente : les fautes de surveillance commises sont-elles la cause des déficits ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Camilla Haboubi, Auteur |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
pp. 341-343 |
Résumé : |
Une femme, admise pour accouchement, est placée sous surveillance. Compte tenu d’anomalies du rythme cardiaque fœtal, le gynécologue obstétricien procède à une extraction instrumentale par ventouse. L’enfant naît en état de mort apparente, et après une réanimation, il reste très handicapé. La mère fait reconnaître que le dossier médical a été mal tenu, et que le rythme cardiaque fœtal n’ait pas été enregistré en continu du début à la fin du travail. Ces fautes sont établies mais, selon les experts, une souffrance per-partum passée inaperçue ne peut expliquer l’ensemble le lourd bilan séquellaire. Pour la Cour administrative d’appel de Lyon (2 avril 2020, n° 18LY01911), le lien de causalité n’est pas établi, et les fautes commises ne peuvent engager la responsabilité. [Résumé Auteur] |
Note de contenu : |
Rubrique "Cas pratique" |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
En ligne : |
http://www.em-premium.com/article/doi/10.1016/j.ddes.2020.07.026 |
in Droit déontologie et soin (2001-2021) > 20 (3) (septembre 2020) . - pp. 341-343
[article] Naissance d’un enfant en état de mort apparente : les fautes de surveillance commises sont-elles la cause des déficits ? [texte imprimé] / Camilla Haboubi, Auteur . - 2020 . - pp. 341-343. in Droit déontologie et soin (2001-2021) > 20 (3) (septembre 2020) . - pp. 341-343
Résumé : |
Une femme, admise pour accouchement, est placée sous surveillance. Compte tenu d’anomalies du rythme cardiaque fœtal, le gynécologue obstétricien procède à une extraction instrumentale par ventouse. L’enfant naît en état de mort apparente, et après une réanimation, il reste très handicapé. La mère fait reconnaître que le dossier médical a été mal tenu, et que le rythme cardiaque fœtal n’ait pas été enregistré en continu du début à la fin du travail. Ces fautes sont établies mais, selon les experts, une souffrance per-partum passée inaperçue ne peut expliquer l’ensemble le lourd bilan séquellaire. Pour la Cour administrative d’appel de Lyon (2 avril 2020, n° 18LY01911), le lien de causalité n’est pas établi, et les fautes commises ne peuvent engager la responsabilité. [Résumé Auteur] |
Note de contenu : |
Rubrique "Cas pratique" |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
En ligne : |
http://www.em-premium.com/article/doi/10.1016/j.ddes.2020.07.026 |
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Exemplaires(2)
92
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Revue en ligne |
Revue - [s] |
CDOC Saint-Chamond
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Consultation en ligne uniquement
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Disponible |
99903520
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CDTI Montbrison
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Disponible |