[article] 
inJusqu'à la mort accompagner la vie > 124 (mars 2016) . - pp. 59-64

Titre :	La sédation : un outil de fin d'existence pour une société d'aveuglés ? De la lumière électrique à la bougie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Catherine D'Aranda, Auteur
Année de publication :	2016
Article en page(s) :	pp. 59-64
Catégories :	Autres sciences de l'homme [NI]:Philosophie:Phénoménologie ; Groupe population:Mourant ; Histoire de vie:Histoire familiale:Fin vie ; Information sanitaire:Besoin santé:Besoin ressenti ; Pratique médicale:Relation soignant soigné ; Psychologie:Développement psychoaffectif:Emotion:Souffrance ; Thérapeutique:Thérapeutique médicamenteuse:Médicament:Médicament système nerveux:Médicament analgésique ; Thérapeutique:Traitement douleur
Résumé :	Dans une perspective phénoménologique, la sédation supprime seulement la manifestation de la vie au monde des proches et des soignants. Quand je sédate une personne, j'agis sur son corps, cerveau compris, mais je n'ai aucune action sur la vie qui l'anime. Il persiste un doute : un patient sédaté se réjouit-il ou souffre-t-il encore ? La seule certitude objective est qu'il ne peut plus nous le manifester, qu'il ne manifeste plus ce qu'il éprouve peut-être encore. [RdE]
Localisation OPAC :	Montbrison/St-Chamond
Support (OPAC) :	Article de revue

[article] La sédation : un outil de fin d'existence pour une société d'aveuglés ? De la lumière électrique à la bougie [texte imprimé] / Catherine D'Aranda, Auteur . - 2016 . - pp. 59-64.
in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 124 (mars 2016) . - pp. 59-64

Catégories :	Autres sciences de l'homme [NI]:Philosophie:Phénoménologie ; Groupe population:Mourant ; Histoire de vie:Histoire familiale:Fin vie ; Information sanitaire:Besoin santé:Besoin ressenti ; Pratique médicale:Relation soignant soigné ; Psychologie:Développement psychoaffectif:Emotion:Souffrance ; Thérapeutique:Thérapeutique médicamenteuse:Médicament:Médicament système nerveux:Médicament analgésique ; Thérapeutique:Traitement douleur
Résumé :	Dans une perspective phénoménologique, la sédation supprime seulement la manifestation de la vie au monde des proches et des soignants. Quand je sédate une personne, j'agis sur son corps, cerveau compris, mais je n'ai aucune action sur la vie qui l'anime. Il persiste un doute : un patient sédaté se réjouit-il ou souffre-t-il encore ? La seule certitude objective est qu'il ne peut plus nous le manifester, qu'il ne manifeste plus ce qu'il éprouve peut-être encore. [RdE]
Localisation OPAC :	Montbrison/St-Chamond
Support (OPAC) :	Article de revue