Catalogue des IFSI - IFAS de Saint-Chamond et de Montbrison (Loire - 42)
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Auteur Marie-Frédérique Bacqué
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[article]
Titre : |
Comment le deuil est passé de la culture à la psychiatrie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Frédérique Bacqué, Auteur |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
pp. 12-16 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Covid-19 ; Deuil ; Durée ; Histoire familiale ; Mort ; Processus ; Psychiatrie ; Psychothérapie ; Rite ; Travail de deuil
|
Résumé : |
Le deuil est en débat entre experts de la psychiatrie depuis 2000. Outre ses manifestations précises, sa durée est discutée : six mois pour la CIM-11, un an pour le DSM-5-TR. Le deuil n’est pas une maladie mais un processus qui peut être bloqué en phase d’annonce de la mort ou de dépression consécutive à l’absence. Dans tous les cas, l’acceptation de la perte est impossible. La psychiatrisation peut définir un endeuillé trop souffrant, diminuer ses souffrances, mais elle ne peut accélérer le processus de remémoration puis de reprise d’une vie sans l’être cher. Les rites sociaux et l’accompagnement psychosocial ont cette place depuis des millénaires dans les cultures de toute l’humanité. |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
En ligne : |
https://www.em-premium.com/article/1542306 |
in Soins psychiatrie > 340 (mai 2022) . - pp. 12-16
[article] Comment le deuil est passé de la culture à la psychiatrie [texte imprimé] / Marie-Frédérique Bacqué, Auteur . - 2022 . - pp. 12-16. Langues : Français ( fre) in Soins psychiatrie > 340 (mai 2022) . - pp. 12-16
Catégories : |
Covid-19 ; Deuil ; Durée ; Histoire familiale ; Mort ; Processus ; Psychiatrie ; Psychothérapie ; Rite ; Travail de deuil
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Résumé : |
Le deuil est en débat entre experts de la psychiatrie depuis 2000. Outre ses manifestations précises, sa durée est discutée : six mois pour la CIM-11, un an pour le DSM-5-TR. Le deuil n’est pas une maladie mais un processus qui peut être bloqué en phase d’annonce de la mort ou de dépression consécutive à l’absence. Dans tous les cas, l’acceptation de la perte est impossible. La psychiatrisation peut définir un endeuillé trop souffrant, diminuer ses souffrances, mais elle ne peut accélérer le processus de remémoration puis de reprise d’une vie sans l’être cher. Les rites sociaux et l’accompagnement psychosocial ont cette place depuis des millénaires dans les cultures de toute l’humanité. |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue / En ligne (Abo. IFSI) |
En ligne : |
https://www.em-premium.com/article/1542306 |
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Exemplaires(2)
SP_340_STCHAM
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Revue en ligne |
Revue - [s] |
CDOC Saint-Chamond
|
Consultation en ligne uniquement
|
Disponible |
99903622
|
Revue en ligne |
Document électronique |
CDTI Montbrison
|
Consultation internet uniquement
|
Disponible |


[article]
Titre : |
Parler de la mort d'un proche avec un enfant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Frédérique Bacqué, Auteur |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
pp. 11-22 |
Résumé : |
Les enfants en deuil ont été suivis d'abord en soins palliatifs, puis en oncologie. De nombreuses possibilités sont maintenant en place. Dépister puis soigner les complications du deuil a d'abord été une priorité. Apprendre maintenant que le deuil peut arriver, que l'on peut perdre un proche, dépasse la fonction hospitalière. L'Ecole devrait pouvoir s'approprier cette question, en reliant la mort à la vie, dont elle fait partie plus globalement. Enfin, les familles doivent pouvoir parler de la mort avec leur enfant. [RA] |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Jusqu'Ã la mort accompagner la vie > 132 (mars 2018) . - pp. 11-22
[article] Parler de la mort d'un proche avec un enfant [texte imprimé] / Marie-Frédérique Bacqué, Auteur . - 2018 . - pp. 11-22. in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 132 (mars 2018) . - pp. 11-22
Résumé : |
Les enfants en deuil ont été suivis d'abord en soins palliatifs, puis en oncologie. De nombreuses possibilités sont maintenant en place. Dépister puis soigner les complications du deuil a d'abord été une priorité. Apprendre maintenant que le deuil peut arriver, que l'on peut perdre un proche, dépasse la fonction hospitalière. L'Ecole devrait pouvoir s'approprier cette question, en reliant la mort à la vie, dont elle fait partie plus globalement. Enfin, les familles doivent pouvoir parler de la mort avec leur enfant. [RA] |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)

[article]
Titre : |
Place des rites funéraires dans le processus du deuil |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Frédérique Bacqué, Auteur |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
pp. 45-55 |
Résumé : |
Les rites funéraires ne forment pas qu'un espace virtuel groupal où il serait possible d'exprimer ses émotions. Par le biais d'opérations psychiques précises, ils préparent le sujet en deuil et son groupe à la mentalisation de la perte et à l'intégration des traces psychiques de la personne perdue. Si certains rituels sont traumatisants, c'est qu'ils favorisent l'expression d'une souffrance insupportable ou, au contraire, l'absence d'expression de la souffrance, contradictoire avec la réalité des liens établis entre le défunt et ses proches. [Résumé Auteur] |
Note de contenu : |
Associé à : Dossier "Que faire de nos morts pour que la vie continue ?" |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
in Jusqu'Ã la mort accompagner la vie > 140 (mars 2020) . - pp. 45-55
[article] Place des rites funéraires dans le processus du deuil [texte imprimé] / Marie-Frédérique Bacqué, Auteur . - 2020 . - pp. 45-55. in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 140 (mars 2020) . - pp. 45-55
Résumé : |
Les rites funéraires ne forment pas qu'un espace virtuel groupal où il serait possible d'exprimer ses émotions. Par le biais d'opérations psychiques précises, ils préparent le sujet en deuil et son groupe à la mentalisation de la perte et à l'intégration des traces psychiques de la personne perdue. Si certains rituels sont traumatisants, c'est qu'ils favorisent l'expression d'une souffrance insupportable ou, au contraire, l'absence d'expression de la souffrance, contradictoire avec la réalité des liens établis entre le défunt et ses proches. [Résumé Auteur] |
Note de contenu : |
Associé à : Dossier "Que faire de nos morts pour que la vie continue ?" |
Localisation OPAC : |
Montbrison/St-Chamond |
Support (OPAC) : |
Article de revue |
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Exemplaires(2)

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